phil29 a écrit:Tiens, toi aussi tu passes en coque open?
Pas tout à fait une coque Open, je dirais plutôt un Day Boat
Le constat :
Les déplacements vers l'avant deviennent difficile, sans compter que je ne veux pas de balcon ni de filières que je trouvent disgracieux sur un vieux grèm'.
La mise en place des béquille est assez ardue du fait de leur poids .
La cabine ne sert à rien pour moi,
je n'y vais jamais ! A tel point que je chope mes sac à voile avec ma gaffe sans descendre dans la cabine.
Mon aviron est accessible de la descente, ainsi que les binouzes .
L'échelle de descente est supprimée et remplacée par mon bac à mouillage.
J'ai du descendre 2 ou 3 fois cette année, et encore un foi pour me protéger d'un grain, l'autre foi pour ranger le matériel de sécu.
Les solutions:
Contrairement à Phil, je vais faire un pont plat jusqu'au pied de mat de façon à ce que le bateau reste autovideur, c'est important pour moi dans le coin ou je navigue.
Après le vieux gréement Bégoc couché par une vague il y a 2 ans, c'est le F22 du collègue qui c'est fait cueillir par une déferlante cette année
D'où l'importance d'un pont autovideur.
Sans la cabine j'ai accès au pied de mat , tous les retours de drisses, la prise de corps mort etc . . .
Je conserve néanmoins l'espèce de petite cabine avant qui sera un range bordel et un abri éventuel pour la pluie.
Je ne suis plus très sur, mais quand j'étais gosse, on appelait ce grand coffre avant un Pitiek, si quelqu'un de bretonnant peut me confirmer?
J'ai calculé, j'y tiens assis et il restera 2 grandes couchettes cercueil et la place pour le seau d'aisance de l' Amirauté
Je gagne aussi un énorme coffre en arrière du mat, ou j'enfournerai les béquilles, le mouillage et les valises de 24 .
Reste à trouver la solution pour qu'il soit presque au raz du pont, mais étanche quand même.
Voili, vloilou
