Je vais me pencher sur cette possibilité de casse que je ne connaissais pas. Pour mon soucis côté quille, c'est côté bénitier. Le bateau est au sec depuis le 15 septembre, il a bien séché et j'ai ré-enduit la quille à l'epoxy. Je vous mets les photos du chantier de la crapaudine
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On voit la situation, certes je ne risquais pas de perdre le safran dans un premier temps mais il pouvait se déboîter et ensuite la casse au niveau du palier doit rapidement arriver vu que tout l'effort se reporte à ce niveau. Cela explique aussi pour une partie au moins, pourquoi la barre était aussi dure
La partie de quille en débordement sous le safran qui faisait office de crapodine a été coupée
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Une pièce en inox va assurer le service de tenue du safran
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mise en place
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Il reste à fixer la pièce dans la fonte de la quille. C'est un chantier que j'ai fait faire au port à sec, je suis trop loin de chez moi et de mon atelier et surtout, je ne soude pas assez souvent pour avoir le bon coup de main. Cela revient mais mieux vaut s’entraîner sur de l'acier ordinaire car on a vite gâché de l'inox.
La petite bande fonte rouillée correspond à la patte qui avait été posée avant le départ de Bretagne, elle tenait principalement par la couche d'antifouling plus l’opération du St Esprit, j'ai vraiment échappé de peu au diable dans le bénitier. On voit qu'en Bretagne vous êtes des bon chrétiens avec un bénitier pour soutenir le gouvernail, nous dans le Sud-Ouest, nous sommes de bons païens, on a remplacé le bénitier par la crapaudine.