Et la foule en délire lançait des bigorneaux !!! Devant tant d'enthousiasme, je continue !!!
Donc, disais je, pour commencer quoi ?
Bah, boire un coup, tiens.
Allez, café à gogo pour qui n'en veux, avec du vin américain, du Coca, quoi, et de l'Orangina aussi. Bon, y'avait aussi des boissons issues de la fermentation, et quelques unes de la distillation. Mais on a tous été très sages ce week end, je trouve.
S'ensuit les échanges de divers matériels, une bôme par ci, des lampions par là, des plaques d'inox de ce côté, l'inspection des voiles du vieux Gaffeur, etc, etc...
Après les échanges de matériels, les échanges verbaux, du genre, tu navigues, toi ? Bah non, pas le temps. Ha oui, bah moi pareil... Sauf pour nos petits vieux, retraités, qui n'ont que ça à faire...

Moi, pendant ce temps là, je balançais des petits sacs remplis de maïs sur une planche à trou... Et tout ça dans une chaleur et moiteur digne, digne de quoi en fait ?
Bref.
Est enfin arrivée l'heure de l'AG !
Après le traditionnel mot du Président, moi, quoi, suivi d'une présentation des comptes, sains, de l'entreprise, pardon de la collectivité, ha non, merde, de l'association, on a voté des tas de trucs jusque tard dans la nuit... Plus fort que l'Assemblée Nationale ! Le compte rendu de l'AG sera disponible à date ultérieure, dès que le secrétaire se sera remis de ses émotions. Hein ? Il était pas là ? Bon, à date ultérieure, j'ai dit.
Enfin, après l'apéro offert par l'amicale laïque, le repas. Bon, comme d'hab, on s'est bâfré comme des gorets, avec des araignées, de la mayo issue d'un concours que j'aurais soit disant perdu, de toutes façons, j'ai l'impression qu'il fallait que je laisse gagner tout le monde cette année, à la mayo, aux petits sacs de maïs, à celui qui, euh, le plus loin, enfin bref, passons... En tout cas, on a bien mangé, bien bu (mais sans excès) et bien rigolé (là, avec excès)...
Avec le café, on a eu un cours magistral, comme à la fac, si, si, avec vidéo projecteur, si, si, ayant pour thème l'art de la découpe sur Forban MKII. Intéressant. Si, si.
Arrive l'heure de la traditionnelle Queimada. Déclamation des textes obligatoires pendant que Thierry essaye de foutre le feu au barnum en remuant la soupe enflammée...
Puis les guitares sont sorties, avec une ode à la Makita.
Bon, perso, debout depuis l'aube et une plongée dans les pattes, moi, à 1 h 00 je suis allé mettre mes petits yeux à dormir...
De toutes façons, demain il fera jour...
Ben moi, j'y trouve comme un goût de pomme... non ?