Après moi je n'ai plus qu'à fabriquer. . .
Je me sens un peu comme un ouvrier du textile sur-exploité au fin fond d'un atelier du Bangladesh

Mais non, j'déconne, c'est très bien comme ça et je n'ai pas à gérer les achats, déjà que je suis pas mal booké entre mon ( vrai) travail et la bricole

Continue Péchal, on tient le bon bout

Pour le moment je vais me limiter à 5, si je veux pouvoir réaliser avant la saison