Beneteau4ever

devriez pondre un systeme de prise en charge des tofs automatique au lieu d avoir une usine a gaz imbranlable pour le commun ses vieux schnocks raleurs

essence ou diesel deux ou quatre temps on s en bat l oeil FAUT QUE CA PETE

pépé, prend ton supo et file au lit

effervescent s il te plait le suppo , mon somnifere est tellement puissant que sinon je me reveillais avec un doigt encore en place ,c est desagreable

Jean. a écrit:

gwengolo a écrit:La réponse est que les haubans ne sont pas là pour empêcher le mât de se cintrer, mais pour empêcher qu'il se cintre TROP... (et casse...).

tu peux développer ?

Je veux dire que si le mât a un léger cintre, ce n'est pas trop grave... tant qu'il ne cintre pas au point de casser.

C'est ce qui se passait sur mon précédent dériveur : je n'ai jamais vraiment réussi à bien raidir les haubans (même à l'arrêt).
En navigation, le hauban sous le vent était, en effet, bien détendu.
Mais rien n'a jamais cassé.

Il faut trouver le bon compromis entre haubans trop détendus (risque de casse du mât) et haubans trop tendus (risque d'affaiblissement de la coque au niveau des cadènes).

Ok ,merci .

Alors, la vraie vérité si on veux approfondir :
En cas de bonne brise la tension de la voile dans la partie basse du mat ( comprise entre le pied de mat et l'ancrage des bas haubans quelques mètres plus haut ) est telle que ce bas-mat prend un peu de ventre et pour faire ce ventre il perd un peu de hauteur, logique .
Donc physiquement le point d'ancrage haut des haubans descend de quelques millimètres d'où cette impression de haubans toumoux, mais uniquement sous le vent
Il en est de même avec un gréement en tête, si on souque à mort le pataras dans l'espoir de raidir énormément l'étai on peut donner du ventre au mat et faire se mollir les haubans ( à éviter )
Solution :
commander à JJ un mat de chez " Leborgne " si ça existe, ça doit peser une demi tonne, mais ça ne plie pas, foi de JJ

la tu charries ya des mats en carbone ca plie mais ne casse pas tel le roseau pas comme le bois d arbre qui plie pas mais casse de peur avant meme d etre pourrit comme fumier raillez raillez mais avant de ralier avec deux demie barres comme certains va passer un bail bande de jaloux

J.J.85 a écrit:la tu charries ya des mats en carbone ca plie mais ne casse pas tel le roseau pas comme le bois d arbre qui plie pas mais casse de peur avant meme d etre pourrit comme fumier raillez raillez mais avant de ralier avec deux demie barres comme certains va passer un bail bande de jaloux

Mouais....a voir le nombre de gus qui démâtent sur les transat ou les Vendée Globe et se retrouvent avec des tronçons de mâts, je ne serais pas aussi affirmatif sur l'incassabilité des mâts en carbone...

De plus, les manches Leborgne ne sont pas vraiment en 'carbone'. Il s'agit en fait d'élastomère, polypropylène et fibre de verre, certes imputrescible et résistant:
https://www.leborgne.fr/securite-selon-leborgne/

Le détail est sans doute anectodique pour la discussion ici mais soyons précis, hein!
Et haubanner et régler un mât comme ça, ca doit se mériter, je pense...

old gaffeur a écrit:je ne serais pas aussi affirmatif sur l'incassabilité des mâts en carbone...

L'échantillonnage sur un bateau de régate n'est pas le même que sur un croiseur, heureusement.
Le carbone a cette particularité de ne pas plier jusqu'au point de rupture