pechalajournée a écrit:le hb et le sail drive même combat,
Je confirme et plussoie tout ce qu'a dit Pecha. Hors-bord en puit, s'il reste dans l'eau, 5 ans maxi (et encore). Sur un mercury 9,9, tube de cuivre montant dans le fut d'embase en alu, et devinez la suite. J'avais réussi à ralentir en vissant une anode de chaque côté sur la plaque, en plus de celle d'origine sur l'axe d'hélice : bouffées en un an.
pechalajournée a écrit: ahlala, sans moteur on est quand même mieux

++++. Y-a trente-cinq ans, dans le port de Camaret, j'arrivais à la voile avec mon muscadet, et je mouillais sur ancre dans l'arrière port. Essayez maintenant pour voir (je me suis fait engueuler voici 15jours parce que j'arrivais sans avoir appelé sur le canal 9 (on rêve).
Reste que sur les moteurs in-board dont j'ai eu à m'occuper, je n'ai eu de pb que résultant du manque d'entretien. Sur le Nanni que j'avais sur le Kerlouan, le précédent propriétaire était mécanicien, et 10 ans après l'échangeur que j'ai démonté était comme neuf. Mais joints et anodes changés très régulièrement. Le YSM12 que j'ai installé sur Mathurin, il redémarre au quart après chaque hivernage (depuis 5 ans maintenant). Par contre, le Lombardini avec peu d'heures, l'échangeur était naze, par manque d'entretien (et pas vu par le mécano du chantier à qui j'avais posé la question, ah, les experts...). Et pour ce qui est de l'occasion, dixit un vrai mécano marine : ne pas regarder le nombre d'heure sur un moteur, regarder si le bateau navigue avec régulièrement, et si les révisions sont faites. Un moteur, même neuf, laissé à lui-même plus de 3 ans dans son sel, n'a plus de neuf que le nom.
Donc naviguons, naviguons, c'est pas ça qui les use.