Beneteau4ever

Non ya un bon vieux carbu
C est reserve aux professionnels pas pour le couillon de plaisancier lambda
Ceci dit une injection directe on sait faire depuis 1960 70 cf sarich adapte aux engins de chantier diesel 2 temps

Le solex est equipe d une pompe a injection depuis 1942

Jusqu'au jour où je dois partir, je continuerai d'apprendre

Sois pas presse d etre omniscient tu nous manquerait
Le probleme evoque reside dans l inadaptation des produits proposes par les fabriquants par rapport aux besoins et a la demande de l utilisateur potentiel que je suis tant dans le rapport poids puissance que dans la longueur des arbres et surtout les prix et le systeme de refroidissement utilise

Premiers protos du solex sous le code vsx23 sont sortis en 1941 des chaines de montage
700 fabriques en cachette de l occupant commercialise en 1946

De retour de revision puis pret un mariner 2006 a petit impeller mais les premiers a bobine arriere
C est beau un nissan qui pete du premier coup un bonheur
Le joint spi n est pas passe dans la chaine de distribution

https://www.leboncoin.fr/equipement_nau ... 04140.htm/
sante

J.J.85 a écrit:Depuis le debut du 20e siecle on sait fabriquer des moteurs sans soupapes cherchez l erreur
Ssp bristol napier panhard levavasseur sarich pour les moteurs deux temps a injection directe sans carter pompe et enfin wrankel
Mais dans l esprit du consommateur plus le moteur est lourd massif et pesant plus il est cense etre solide
Alors que le rapport poids puissance le consommateur est cense s en contrefoutre
Le fait qu un motoriste revienne a une technologie mise au gout du jour c est nouveau car ce susdit moteur serait agree ce

Du sans soupape on a encore les vieux Sulzer 2T à balayage en boucle, le principe du bon vieux moteur de mobylette transposé à moteur lent de cargo, mais ça fait deux décennies au moins qu'on n'en parle plus que pour mémoire dans les cours de marine marchande. J'ai aussi croisé un bateau qui avait du V12 Wichman à balayage en boucle, mais ça date des années 70 au Danemark, et les moteurs étaient rincés.
La distribution sur les moteurs à chemises louvoyantes ( Panhard-Levassor, Automobiles Avion voisin) est un peu complexe et demande une lubrification conséquente, ce sont des moteurs qui fument et mangent de l'huile, mais avec un couple intéressant et peu de vibrations.
Une autre méthode de distribution: les moteurs à pistons opposés et lumières d'admission & échappement (Napier, Junkers Jumo, Doxford ce dernier en marine marchande; en moteurs industriels ou agricoles on trouve CLM et MAP.
Moteur Wankel : bon rapport poids puissance mais couple réduit et régime élevé ce qui lui enlève beaucoup d'intérêt, sans compter les soucis rencontrés par DKW et citroën dans la mise au point dudit moteur, seule une considérable amélioration de la métallurgie a permis à Mazda d'en faire un moteur relativement diable.

J.J.85 a écrit:Depuis leduc et son griffon on sait fabriquer des reacteurs sans turbines mais en cours d essais on a achete le brevet general electric pour creer les atar snecma et aux oubliettes leduc et son statoreacteur inusable

Le statoréacteur n'au qu'un inconvénient, il ne marche qu'aux vitesses supersoniques. Il faut donc un turboréacteur ou une fusée pour atteindre lesdites vitesses. Le statoréacteur a été utilisé sur des missiles, avec un premier étage à poudre pour atteindre la vitesse d'amorçage du statoréacteur. En tant que tel, il n'est pas utilisable sur un avion.
On a bien pensé à des combinés turbo-statoréacteur, mais ça a l'air compliqué à réaliser, tant le régime supersonique diffère du régime subsonique.

tohatsu vous avez dis