papou a écrit:j'imagine ta joie et ta fierté de naviguer sur ton pépère.bravo; fin de la première partie; maintenant les chose sérieuses commencent.
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encore bravo, et bonne continuation.
Salut Matthiew.
Non, il ne prend pas trop l'eau (un peu d'eau dans les fonds, mais je me demande si ce n'était pas de l'eau de pluie datant de quand il était abandonné, il était penché vers l'avant dans ma cour, comme tu le sais bien, et cette eau a pu ressortir de la partie avant).
Non, le tracteur de Bertrand respire la santé, et sa remorque perso à montée/descente hydraulique de l'essieu s'est bien glissée sous le bateau au fur et à mesure, avec des cales en bois sous la quille qu'on a déplacé à l'avancement, l'opération n'a pas duré plus de 25 minutes je pense. Je regrette vraiment de ne pas avoir pu prendre de photos, mais bon, certains instants se vivent, et ne peuvent pas se mettre en boîte, même si ça prive les copains d'un peu de roman-photos !!!
Les manips se sont passées sans souffrance, on sent que Bertrand a l'habitude de manipuler des coques dans tous les sens, comme il les construit, et tout seul, il les retourne souvent pour souder partout, ce qui est mieux et rassurant
Donc, impeccable, le petit kilomètre qui nous séparait de l'eau (marée basse montante, rappel) s'est passé sans encombre, Bébert est équipé bien comme il faut en Waders et Nicole et moi n'avons même pas eu à nous mouiller les ripatons, j'avais pourtant prévu !
Le rematage s'est fait juste avant la mise à l'eau, mais les impératifs d'heure de départ (la mer montait bien vite et nous n'aurions plus bénéficié du trou profond pour compenser le tirant d'eau) m'ont obligé à finir de gréer en mer, un bras accroché autour du mat pour monter la bôme, en équilibre sur les bancs (dans une mer "belle à peu agitée" pour utiliser les termes de la météo marine, mais pour bricoler, on trouve que c'est le "peu agitée mais un peu quand même, hin") pour relier le pataras à sa patte d'oie (oui, oui, on était vraiment au timing serré).
Ceci explique aussi mon peu d'insistance à tirer des bords avec tout mis en place à la hâte, sans vérification sérieuse. Mais de toutes manières, nous n'aurions plus été dans une bonne configuration horaire si nous avions fait les touristes, le temps gris et pluvieux ne nous y incitant pas plus que ça d'ailleurs !
Oui, parfois juste pour foutre à la baille, des petits cons s'amusent à piquer du matos sur les bateaux, les cadenas n'arrêtent pas un voleur qui vient "faire son marché", mais freine ce genre de trous du cul qui passent "s'amuser", triste constat. Mais c'est l'effet "pontons et passerelles confortables" qui engendre ce type de vols, ton Papou ne risquerait rien de ces gens là au beau milieu du port, amarré à sa bouée !
Et non, il ne s'agit pas de mon mouillage de luxe livré avec le canot, mais de celui remonté voici 2/3 ans pour mon ancien bateau (pas encore vendu), à savoir, genre "Britany" de bon poids (9/10 Kg je crois), 15 m de chaine et 30 m de filin de 12, ça commence à intéresser les voleurs car y'en a pour des ronds, alors oui, ici, juste au bord du ponton, juste sous le nez des badauds n'ayant rien à faire là, je reste prudent ...
Bon, agréable journée mais dure journée, suivie de la reprise, alors je vais au plumard.
A tout'
Marc
mais le marin sans être superstitieux est résolument optimiste.et pour le mettre sur la remorque de barge à huitres, z'avez fait comment? tu t'es servi de tes chandelles.
ça se vole les mouillage par chez nous ? 
