Beneteau4ever

En 60 ça doit être pas mal, 6mm d'épaisseur ça parait bien suffisant .
Mais il y a de la place pour en positionner une de chaque coté du pied de mat ?

Bonne question, c'est oui et non. Oui si l'on accepte de s'écarter du mât (voir photo sur mon post précédent), en effet sous la partie en surélévation ou repose le mât, il y a côté cabine, un poteau qui reprend l'effort jusqu'à la quille. Pour fixer la cornière avec contre plaque en dessous, il faut être extérieur à la surélévation, cela écarte les poulies, donc c'est non dans l'optique cornière à proximité du mât.
Il y aurait une autre possibilité, dans la semelle du mât, percer des trous fraisés et avec des boulons à tête fraisées, rien qui dépasse en dessous, fixer un pontet. je mets une photos double. Ce serait commode et économique, reste la solidité, je n'ai pas trop d'idée sur ce qu'encaisse une drisse en charge. On donne pour pour 90° effort 141% source Harken

La solution pontet est intellectuellement séduisante. Mais, comme toi, je me pose aussi la question de la solidité.

Elle dépendra sans doute surtout du diamètre des vis que tu pourrais installer, et de l'épaisseur de la semelle de mât ( il ne faudrait pas que le fraisage fasse passer la tête de vis à travers en charge... ). Il doit néanmoins toujours y avoir une possibilité de doubler cette semelle par le dessus pour renforcer au cas où?

Et, vue la configuration de ta semelle ( pas très large quand même), auras tu le bon angle de renvoi via tes pontets?

Si c'est bon, je crois que ce serait plus esthétique et tout aussi pratique que des cornières. On attend la décision finale avec intérêt!

L'alu devient cassant en vieillissant
L'idée de doubler la semelle par une plaque d'inox fine est intéressante, histoire de mieux répartir les forces et de prévenir le risque de fêlure ou cassure de la semelle.
Dans ce cas une épaisseur égale à la profondeur de ton fraisage serait suffisante

+1

Oui idée de doubler en effet j'y avais pensé, seule question posée, il y a le boulons qui relie le mât au pied de mât, si je surélève le mât, ok ce sera juste quelques mm, il faudra que les trous sur le mât et sur le pied de mât coïncident pour passer le boulon. Autre point, les poulies que je trouve ont des charges de travail de 140kg et 575kg en charge de rupture, cela fait du très léger au moins pour une drisse qui sera étarquée au winch. Si je prends un angle de tire de 90° avec coef 140% de multiplication d'effort, cela veut dire 100kg d'effort sur la drisse de GV = 140 kg sur la poulie. Le risque n'est pas tant de casser la poulie elle même mais d'écraser les roulements. L'autre point faible sera la tenue des boulons du pontet et de la semelle. je ne me rends pas compte de l'effort réel sur la drisse de GV, Normalement cela ne doit pas être énorme puisque le système classique est de tourner la drisse sur un taquet rivé sur le mât mais avec renvoie au cockpit sur un winch cela change la donne. Je veux pouvoir envoyer la GV et la rentrer sans aller au pied du mât.
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