Bateau couché par une claque de vent, on peut remplir le cockpit par-dessus les hiloires (je l'ai fait) il faut alors penser à fermer les panneaux de cabine surtout bâbord amure.Rase Cailloux a écrit:PIOUUU, quelle rafale de questions
pas de risque d'enfourner avec les hautes hiloires de cockpit qu'il a .
Rase Cailloux a écrit:Si le vent est trop fort à ton gout commence par rouler un peu le génois ( genre 3 tours)
Si toujours trop pour toi, roule un peu de grand voile, mais diminue le génois en priorité.
Rase Cailloux a écrit: Bon, ceci dit, un monocoque gite un peu, c'est normal
Torr Penn a écrit:Rase Cailloux a écrit:Si le vent est trop fort à ton gout commence par rouler un peu le génois ( genre 3 tours)
Si toujours trop pour toi, roule un peu de grand voile, mais diminue le génois en priorité.
Mon opinion à ce sujet est opposée à celle de mon camarade. Quand le vent monte le bateau gîte et devient ardent, en réduisant d'abord la GV on revient à un certain équilibre. Rouler le génois va certes réduire la voile, mais aussi la creuser ce qui a un effet inverse de la réduction de surface: augmentation du moment inclinant (ça gîte plus). C'est ce que je pratique sur le baroudeur, mais aussi sur d'autres bateaux de la même époque.
Torr Penn a écrit:Dans les bons réflexes: ne jamais sous-estimer les temps de navigation au près. Le baroudeur est lent, surtout au louvoyage. On s'en sort bien avec l'aide des courants de marée.
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