Dans ces cas il faut trouver la motivation pour avancer. D'accord les papates, les pieds, les genoux, les bras et les épaules fonctionnent sans que j'ai besoin de leur dire, mais pour le reste j'ai dû puiser dans mes ressources mentales pour avancer.
Et aujourd'hui j'avais trois sources de motivation :
- en terme de jours de marche j'en suis exactement à la moitié de mon tableau de marche, 17 jours sur les 34 prévus
- je suis descendu en dessous de la barre symbolique des 400 km à marcher avant d'atteindre Santiago, j'ai déjà eu celle des 700, puis des 600, puis des 500
- et enfin j'ai parcouru aujourd'hui 380 km, il m'en reste 398, demain j'arrive à la moitié du parcours.
Youpi


Le chemin est toujours aussi bien balisé