Retaper une remorque, troisième et dernière leçon Bon, après le cycle complet anti rouille et peinture, on passe à l'habillage.
L'idée est que ma zoulitte peinture ne va pas faire longtemps avec le ragage du canot à chaque montée descente de la remorque.
D'ou l'envie de réaliser des patins d'usure en bois du arbre.

- présentation des patins pour marquage des chtits trous.
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- perçage de la ferraille
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- Taraudage des chtroutrous pour fixation des vis têtes fraisées
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- on n'oublie pas le SIKAKIVABIEN partout, en dessous et même dans les trous de vis
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- Et voila le travail,vu de dessus
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serrage modéré le premier jour et définitif le lendemain après polymérisation complète du joint.

- vue de l'arrière
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- et de face.
J'ai peint le voile des pneus en blanc, ça fait Vintage et ça fera plaisir à Vincent
Souvenirs, souvenirs!
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- Avec le canot dessus, pil poil la hauteur des cales de chandelles.
On picole, mais on garde le compas à côté de l'oeil !
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- Vu de l'arrière, l'empattement diminué pour zigzaguer entre les annexes des gueux qui n'ont pas de remorque, et qui sont stockées en vrac sur la cale.
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- Et voila, dans son élément, facile à pousser pour la mise à l'O et remonter sur la remorque.
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Remorque complètement immergée, pas une seule remontée de bubulles!
Donc, théoriquement, la remorque est étanche, on verra à l'usage s'il y a des bruits de glouglou quand on la remue.
Bon, c'est tout pour aujourd'hui.
Étonnant, non ?
Prochaine étape :
fabrication d'un mat et vergues en lamellé collé de pin d'orégon ( encore de la récup)
Mise en place d'un puits de dérive.
Et taillage d'une zoulitte voile Houari dans la voile de planche à voile de mon Papounet préféré.
Le tout en images, évidemment
Si du moins, vous z'en voulez encore
