Beneteau4ever

old gaffeur a écrit:Joli boulot!
Pour tes vis inox en 6*60, seraient ce par hasard des vis pour lames de terrasse bois?
Pose à la visseuse, j'imagine?

Non. Les vis pour terrasse sont autoforantes. Celles-ci sont classiques, et nécessitent donc un trou de 6 dans le liston, et un avant-trou de 4 sur le côté du plat-bord. Ensuite, la pose à la visseuse est une formalité

Vu leur petit prix, je crois que les vis de terrasse sont en inoxA2, pas en A4.
Donc sujettes à un peu de rouille

Et l'A4 chinois colle à l'aimant et le 316L coûte une blinde

Bravo, il va falloir que je m'en inspire, c'est un chantier futur pour le Jao. Quel entretien? il y a d'abord une histoire de choix, on peut préférer peinture ou plutôt aspect bois, cela ne se discute pas. Pour l'aspect bois, je l'ai déjà dit, huile de lin, huile de lin, huile de lin, facile, pas cher, pas chiant et super efficace.

Victor-theophile a écrit:Bravo, il va falloir que je m'en inspire, c'est un chantier futur pour le Jao. Quel entretien? il y a d'abord une histoire de choix, on peut préférer peinture ou plutôt aspect bois, cela ne se discute pas. Pour l'aspect bois, je l'ai déjà dit, huile de lin, huile de lin, huile de lin, facile, pas cher, pas chiant et super efficace.

Nous sommes au moins deux

Jamais deux sans trois

Reçu la visite de GG et Papou, ce qui m'a donné l'occasion de faire connaissance avec icelui. Un bien bon moment, avec un bien bon petit chablis (merci GG).

Comment vieillissent nos réparations ? En faisant le tour de Mathurin, on a pu discuter du remplacement du bénitier, fait voici maintenant 2 ans. Suite à l'idée de Pécha (un L soudé), et à ses déboires à suivre (corrosion rapide), j'avais copié en utilisant non pas un L soudé, mais un tronçon de Upn, une branche du U tronçonnée. Ceci suppose de percer et tarauder la fonte, ce qui n'est pas une mince affaire, mais on y arrive.

Ci-dessous, l'état de la réparation après une année sous l'eau, et une année sur terre-plein :
,
le L est quasi-intact, juste le boulon soudé comme guide d'aiguillot est une peu corrodé.
Comme en plus c'est démontable (Cf les vis inox visibles), et qu'on peut en fabriquer tant qu'on veut, je suis assez content du résultat.

Et pendant que j'y suis, je rapatrie ici le système d'ouverture partielle du capot avant, pour une aération continue et donc un intérieur bien sec. En espèrant que les photos ci-dessous sont explicites.
Sur la première, le capot est fermé, bien serré par la molette en plastique. On note toutefois qu'un écrou (papillon ici) a été vissé avant le montage.
Sur cette première photo il ne sert à rien.
L'astuce se révèle sur la photo suivante. Pour laisser le capot entrouvert, descendre la molette en plastique au max, et descendre ensuite l'écrou, qui vient en appui sur l'étrier, permettant de fixer le capot légèrement entrebaillé. On sert ensuite la molette du bas contre l'écrou papillon, pour empêcher l'ouverture, et le tour est joué.
On a ainsi un courant d'air permanent entre le capot, qui reste malgré tout bien fixé, et la grille de la porte de cabine, et foi de Dom, ni humidité ni odeur.

La prochaine fois, vous verrez Mathurin dans sa robe neuve

A défaut d’ecrou papillon un tout bête ecrou fera l’affaire ,un peu plus compliqué sur le kerlouan qui a deux molettes sur le panneau ,mais une super astuce

Si tu bloques un seul des deux loquets, le travail sera le même, c'est uniquement une retenue